Dans l'gaz

Bordel, du vent, rien que du vent

J'en suis presque à chialer de voir des relations devenir aussi grotesques

Ne tenir plus que sur de la destruction
Vieilles rancoeurs & insultes voilées, dégoulinantes de sirop pour faire avaler le poison.
Et te cracher à la gueule tout ce qu'il y a pas, tout ce qui manque et qui ronge
Tout ce qu'il faudrait

Ta fausse indifférence de merde, juste que t'as pas assez les couilles d'assumer ton mal être
Petit garçon.

Et on se blindera pour ne pas avoir à assumer tout ce qui s'arabesque dans nos chairs, ce qui nous frissonne jusqu’au fond et qui nous fout un bordel monstre au cœur.
Un jour, ça fera une putain d'étincelle.
On se dira des choses, illusoires, et on se serra bien fort, inutilement, pour se dire tout.
Quelques secondes, semble-t-il.
Et puis, plus rien. Ou presque. Juste la descente. Une mauvaise drogue qui arrête de faire son effet.
C'est drôle, vu d'ici.
Ca tourbillonne, ça danse. Des petits vieux au bal du samedi, juste après le loto.



Il n'y a jamais de retour en arrière
Que du remâché
Du fade.



Fourres-toi ça dans le crâne.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire